Marguerite Stern s’excuse auprès de l’église catholique. L’ancienne militante Femen, opère un revirement surprenant : désormais conservatrice, elle reconnaît l’importance de l’Église catholique pour l’identité française. Elle Regrette ses actions passées et présente ses excuses aux catholiques et exprime son inquiétude face au transgenrisme et au transhumanisme, qu’elle perçoit comme des menaces civilisationnelles.
Marguerite Stern : de Femen à ses excuses à l’église catholique
Marguerite Stern surprend les internautes ce 31 octobre par ses excuses à l’église catholique. Figure marquante de l’activisme Femen, Marguerite Stern a récemment opéré un revirement aussi profond qu’inattendu.
Elle qui a longtemps milité pour des causes féministes radicales et mené des actions-chocs contre l’Église catholique, se dit aujourd’hui conservatrice et sensible aux valeurs de la tradition catholique.
Les excuses de Marguerite Stern à l’Église catholique dans la vidéo ci-dessous :
Ce changement de Marguerite Stern ajouté à ses excuses à l’église catholique est marqué par un retour à la réflexion sur l’identité française et les racines culturelles de la nation. Et c’est bien ce qui l’amène à présenter des excuses publiques à la communauté catholique pour ses actions passées.
Cette évolution, loin d’être superficielle, démontre un parcours de remise en question personnelle et de redéfinition de ses idéaux.
Marguerite Stern, qui avait jadis adopté des attitudes provocantes pour faire avancer ses convictions, se dit aujourd’hui soucieuse de préserver l’identité française, qu’elle considère intimement liée à l’histoire et à la culture catholique du pays.
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Après les excuses à l’église catholique, Marguerite Stern inquiète du Transgenrisme
Présenter des excuse à l’église catholique, Marguerite Stern l’a fait, mais les réflexions de l’Femen sont plus profondes. Marguerite Stern marque opposition au transgenrisme, qu’elle décrit comme une « menace civilisationnelle » pour les valeurs qu’elle juge fondamentales.
Marguerite Stern critique vigoureusement cette idéologie, qu’elle considère comme une tentative de nier la différence entre les sexes et de brouiller notre nature humaine. À ses yeux, le transgenrisme incarne une forme de déconstruction sociale qui menace les fondements mêmes de la civilisation.
Elle va plus loin et lie cette cause à une prise de conscience patriotique : son combat contre le transgenrisme l’a poussée à revisiter son attachement à la France et à ses traditions.
En reconsidérant ce qu’elle voit comme des repères identitaires solides, elle affirme que la sauvegarde des valeurs nationales passe aussi par une critique des idéologies qui cherchent à les altérer.
Au delà des excuses, Marguerite Stern réaffirme le rôle de l’église
L’incendie de Notre-Dame en 2019 a été un événement décisif pour Marguerite Stern, ce drame lui a fait prendre conscience de l’importance spirituelle et symbolique de l’Église.
Elle se rappelle avoir versé des larmes en observant la cathédrale en flammes, elle réalise à quel point cet édifice est une partie intégrante de l’âme de la France. Cet incident tragique a ravivé en elle un sentiment d’appartenance et d’admiration pour la grandeur de la civilisation catholique.
Marguerite Stern reconnaît désormais que ses actions passées étaient empreintes de mépris et d’une certaine haine de soi. Elle y voit, avec le recul, une tentative destructrice envers les valeurs religieuses qui ont façonné le patrimoine et l’histoire de la France.
En admettant son ignorance quant à la portée symbolique de ses attaques, elle adresse un message de regret sincère aux catholiques pour avoir contribué à alimenter des préjugés contre leur communauté.
L’église, une force unificatrice de la religion
Une récente participation à une messe a également joué un rôle clé dans la prise de conscience de Marguerite Stern et dans ses excuses à l’église catholique.
Elle confie avoir été profondément touchée par l’atmosphère de recueillement et de paix qui s’y dégageait. Cet instant lui a permis de mieux comprendre la fonction rassembleuse des rites religieux, qu’elle voit désormais comme des éléments essentiels au maintien de la cohésion sociale.
Pour Marguerite Stern, ces cérémonies ont une valeur universelle et dépasse les clivages entre croyants et non-croyants. Elle appelle ainsi tous les Français, y compris les incroyants, à protéger ces traditions religieuses qui contribuent à la paix et à l’unité nationale.
Dans son esprit, ces rites ne sont pas simplement des pratiques de foi, mais des expressions de solidarité et de partage qui nourrissent la stabilité de la société.
Marguerite Stern appelle à préserver la beauté des édifices religieux
La beauté des édifices religieux et la ferveur des croyants ont laissé une empreinte profonde sur Marguerite Stern. Elle s’émerveille devant l’architecture majestueuse des cathédrales et des églises, symboles d’un art qui honore le divin et témoigne de siècles de savoir-faire et de dévotion.
Marguerite Stern considère ces lieux sacrés comme des trésors de la civilisation, dont la préservation dépasse les frontières de la foi. Cet attachement pour le patrimoine religieux reflète une volonté de sauvegarder un héritage culturel que beaucoup pourraient négliger au profit d’une modernité sans repères.
Elle voit en ces bâtiments un rappel constant de la grandeur passée, un rappel qu’elle souhaite voir respecter et honoré par les générations actuelles et futures.
Le transhumanisme : l’autre menace qu’évoque Marguerite Stern
Dans sa vision conservatrice nouvellement affirmée lors de ses excuses envers l’église catholique, Marguerite Stern critique également le transhumanisme, une idéologie qui, selon elle, nie le mystère et la dignité inhérente de la condition humaine.
Elle estime que les tentatives de l’humanité pour dépasser ses limites naturelles révèlent un désir dangereux de se prendre pour un créateur en oubliant le rôle de créature que chaque individu incarne. Pour elle, cette tendance représente une dérive qui risque de priver l’être humain de son essence profonde.
Marguerite Stern considère que, si le blasphème peut être un droit, il n’est pas pour autant moral. Dans cette perspective, elle rappelle l’importance de préserver une forme de respect pour le sacré, afin de ne pas basculer dans une société où les valeurs spirituelles sont complètement marginalisées.
Le retour à une vision patriote défend l’ex-Femen
Son expérience de militante et son évolution idéologique ont finalement conduit Marguerite Stern à embrasser une vision plus patriote et défensive de la France. Elle exprime son inquiétude face aux menaces qu’elle perçoit comme la mondialisation et l’immigration de masse, qui, selon elle, fragilisent l’identité nationale.
Son discours est sans ambiguïté : pour préserver la France de ce qu’elle voit comme des influences déstabilisatrices, il est nécessaire de restaurer l’importance des traditions et des valeurs historiques.
Pour elle, la culture française, étroitement liée à la civilisation catholique, doit être protégée non seulement des influences extérieures, mais aussi des idéologies qu’elle considère comme destructrices et antinationales.
Marguerite Stern appelle à une réappropriation des symboles et des valeurs de la France, qu’elle voit comme le socle d’une identité en péril.
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Marguerite Stern avec ses excuses publiques se réconcilie avec les Catholiques
Marguerite Stern a présenté publiquement ses excuses aux catholiques et reconnait que ses actions passées ont contribué à renforcer des préjugés négatifs à leur encontre.
Elle exprime des regrets sincères pour les messages de haine qu’elle a pu véhiculer et s’engage désormais à respecter et protéger les traditions religieuses qu’elle considère aujourd’hui comme essentielles à la stabilité et à la paix sociale.
En renonçant à ses anciens combats contre l’Église, Marguerite Stern offre un exemple de réflexion et de transformation personnelle.
Sa démarche est un appel à la réconciliation entre des valeurs qui semblaient autrefois inconciliables dans son esprit : la quête de justice et de liberté d’un côté, le respect des traditions et du sacré de l’autre.
Ce parcours atypique résonne comme une tentative de retrouver un équilibre dans une société de plus en plus divisée, où la quête de sens pousse certains, comme elle, à revenir aux sources d’une civilisation millénaire.
En exprimant des regrets pour ses actions passées, Marguerite Stern entame un dialogue ouvert et nuancé avec les valeurs de l’Église catholique, qu’elle avait autrefois combattu.

Fabien, 34 ans, né en Lorraine. Diplômé d’un Master Politiques Publiques à Sciences-Po. Traite l’actualité sociale au sens large. Je ne rate aucun débat politique depuis 2002.