L’influenceuse très suivie, Poupette Kenza, se retrouve aujourd’hui sous les feux des projecteurs. Mais cette fois-ci, ce n’est pas pour une nouvelle tendance ou un nouveau produit, mais pour des affaires judiciaires qui secouent sa communauté de followers.
Une amende salée de 50000 euros pour Poupette Kenza
Une amende de 50000 euros pour Poupette Kenza… La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a tranché. Suite à une publicité non signalée comme contenu commercial, Poupette Kenza se voit infliger une amende de 50.000 euros.
????????????FLASH | L'influenceuse #poupettekenza écope d'une amende de 50 000€ de la DGCCRF, pour avoir fait la promotion des produits Crest.
— Cerfia (@CerfiaFR) August 16, 2023
L’affaire porte sur une publicité pour le produit Crest 3D White. L’accusation principale ? Des « pratiques commerciales trompeuses ». L’importance de cette sanction ne réside pas uniquement dans le montant de l’amende.
Poupette Kenza, au-delà du paiement, est tenue de partager cette décision sur l’ensemble de ses plateformes et de publier intégralement le communiqué de sanction émis par la DGCCRF. Une décision qui a suscité un fort mécontentement de la part de la jeune femme.
Mais Poupette Kenza n’a pas le choix : si elle ne s’acquitte pas de cette amende, elle risque des sanctions encore plus lourdes, qui peuvent aller jusqu’à une peine d’emprisonnement.
Lire aussi :
Poupette Kenza : 50 000 euros d’amende, une sanction emise par la DGCRF
Des affaires qui s’accumulent
Loin de se limiter à cette affaire de publicité, la vie de l’influenceuse est émaillée d’autres controverses. Le journal Le Parisien a récemment rapporté une autre affaire la concernant : celle de la promotion d’une cagnotte destinée à des orphelins marocains.
Le hic ? Les fonds de cette cagnotte ont mystérieusement disparu. Face à cela, l’association Atlas Kinder envisage de porter plainte, évoquant des accusations lourdes telles que « l’abus de confiance » et les « détournements de fonds ».
Voir également :
Poupette Kenza : Maissane prend la défense de l’influenceuse face à Allan
Au delà de l’amende de 50000 euros pour Poupette Kenza : des soupçons de maltraitance
Comme si cela ne suffisait pas, une autre ombre plane sur la jeune femme de 23 ans, également mère de deux enfants. Une enquête a été ouverte en février dernier, concernant des soupçons de négligence envers son fils. L’affaire est d’autant plus sérieuse que l’enfant a été hospitalisé suite à une blessure à la tête.
Les détails de cette hospitalisation ont été largement partagés par Kenza Poupette elle-même sur Snapchat, ce qui n’a pas manqué d’alimenter les rumeurs et susciter des questions chez ses abonnés.
En tant qu’influenceuse, Poupette Kenza est habituée à partager son quotidien et ses choix de vie avec sa communauté. Ces récentes affaires rappellent qu’il est important d’être transparent et d’avoir une éthique, non seulement dans la promotion de produits, mais aussi dans la gestion de sa vie privée.
________
Pour retrouver toute l’actualité du web, rendez-vous sur notre site web, notre page Google Actualités ou sur notre page Twitter.
Emilia, je rédige pour les rubriques lifestyle, je scrute tout ce qui se passe sur les réseaux sociaux ! Experte Netflix et voyage au bout du monde ! J’écris sur des sujets lifestyle, people, psychologies. Je vous partage mes inspirations ! #inspiration #idéecadeau #moodboard