Candace Owens ciblée par l’Anti-Defamation League (ADL) à cause de l’affaire Jean-Michel Trogneux. La commentatrice politique américaine connue pour ses opinions tranchées, qualifie de « campagne de diffamation » les propos de l’Anti-Defamation League (ADL). Depuis qu’elle a commencé à relayer l’affaire Jean-Michel Trogneux aux États-Unis – une théorie concernant la Première Dame de France, Brigitte Macron – Candance Owens affirme être la cible d’une offensive coordonnée visant à la réduire au silence.
Candance Owens et l’Anti-Defamation League (ADL)
Candace Owens a révélé publiquement ce qu’elle considère comme une campagne de diffamation dirigée contre elle par l’Anti-Defamation League (ADL).
Cette organisation, dont le rôle est de combattre l’antisémitisme et toute forme d’intolérance, est désormais accusée par Candance Owens d’utiliser son pouvoir pour étouffer les voix dissidentes.
🚨I am creating this thread so that everything that is happening is well documented in the public:
Yesterday the ADL added me to what can only be described as an effective hit list. They personally emailed reporters at major publications with a long set of smears about me—plus… pic.twitter.com/RkJUTPJI8B
— Candace Owens (@RealCandaceO) August 29, 2024
Selon Candance Owens, l’ADL aurait employé des tactiques dignes de la mafia pour l’empêcher de s’exprimer sur l’affaire Jean-Michel Trogneux.
Ce dossier, bien que largement ignoré par les grands médias, a attiré l’attention de Candance Owens, qui y voit un exemple flagrant de manipulation par les médias. Elle dénonce surtout la dissimulation qu’ils orchestrent autour de cette affaire.
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Des menaces et des pressions sur les annonceurs
Candance Owens ne mâche pas ses mots lorsqu’elle évoque les méthodes utilisées pour la faire taire par l’Anti-Defamation League (ADL) au sujet de l’affaire Jean-Michel Trogneux, mais aussi sur d’autres sujets peu pris en compte par les médias traditionnels.
Elle accuse ses détracteurs d’avoir envoyé des courriels de menaces à ses annonceurs et aux organisateurs des événements où elle est invitée. Cette tentative de la couper de ses soutiens financiers s’inscrit, selon elle, dans une stratégie plus large visant à l’étrangler économiquement.
« Il s’agit de méthodes mafieuses », déclare Candance Owens. « Ils ne peuvent pas rivaliser sur le marché libre des idées, alors ils essaient de me faire taire en attaquant mes moyens de subsistance. »
Pour Candance Owens, cette situation démontre un manque de confiance de la part de ses adversaires dans la validité de leurs propres arguments. Plutôt que de débattre sur le fond, ils préfèrent utiliser des tactiques d’intimidation pour faire taire une voix qui dérange.
Une tentative de bannissement de YouTube
L’une des accusations les plus graves portées par Candance Owens concerne une tentative de la faire bannir de YouTube. Selon elle, ses opposants auraient fourni des guides détaillant comment signaler massivement son compte afin de provoquer son bannissement de la plateforme.
Candance Owens rappelle que cette tentative de la réduire au silence n’est pas seulement l’œuvre de militants isolés, mais qu’elle implique également des contacts au sein du gouvernement.
Elle affirme que ces contacts auraient été utilisés pour essayer de lui interdire de voyager, ce qui, selon elle, démontre l’ampleur des moyens déployés contre elle. Cela confirme donc que la cabale déclenchée contre la jeune commentatrice politique n’est pas uniquement liée à l’affaire Jean-Michel Trogneux.
Une lutte pour la liberté d’expression
Pour Candace Owens, ce qu’elle traverse n’est pas seulement une attaque contre sa personne, mais contre la liberté d’expression en général. Elle qualifie les actions dirigées contre elle de « comportements communistes », et rappelle que ceux qui la ciblent ne savent « ni créer, ni débattre, mais seulement tromper et voler ».
Malgré les efforts déployés pour la faire taire, Candance Owens reste déterminée à continuer de s’exprimer. « Ils peuvent essayer de me couper mes financements, de me bannir des plateformes, mais tant que les gens continueront de m’écouter, je continuerai de parler », a-t-elle déclaré.
Pour Candance Owens, le soutien de son public est la preuve que ses idées résonnent, malgré la censure qu’elle dit subir.
Candance Owens : entre soutiens et détracteurs
Les accusations de Candace Owens ont provoqué des réactions diverses sur les réseaux sociaux et dans les médias.
Certains internautes soutiennent pleinement Candance Owens et voient en elle une voix courageuse qui ose dénoncer ce qu’ils perçoivent comme une manipulation des médias. « Candace dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas », peut-on lire dans certains commentaires sur Twitter.
D’autres, en revanche, critiquent son discours et l’accuse de jouer la carte de la victimisation pour attirer l’attention. « Elle sait très bien comment faire parler d’elle », affirment ses détracteurs, qui remettent en question la véracité de ses accusations contre l’ADL.
L’ADL : Une organisation sous le feu des critiques
L’Anti-Defamation League, fondée en 1913 par l’organisation B’nai B’rith, est une institution respectée aux États-Unis pour son combat contre l’antisémitisme et toutes les formes de discrimination.
L’organisation a été impliquée dans de nombreuses campagnes de sensibilisation et de lutte contre la haine au fil des décennies, gagnant ainsi une réputation d’acteur majeur dans la défense des droits civiques.
Mais les accusations portées par Candace Owens jettent une ombre sur l’image de l’ADL. Certains observateurs commencent à s’interroger sur les méthodes employées par l’organisation pour atteindre ses objectifs.
Bien que l’ADL n’ait pas encore répondu publiquement aux accusations d’Owens, cette affaire pourrait bien inciter à un examen plus approfondi de ses pratiques.
Un contexte politique explosif
L’affaire Jean-Michel Trogneux, qui a d’abord circulé dans les cercles de la droite alternative française, a pris une nouvelle dimension depuis qu’elle a été relayée par Candace Owens aux États-Unis. Cette théorie, prétend que Brigitte Macron serait une transsexuelle du nom de Jean-Michel Trogneux.
En s’emparant de cette affaire, Candance Owens a sans doute cherché à renforcer son image de figure antisystème, prête à défier l’establishment, que ce soit en France ou aux États-Unis.
Cette stratégie comporte des risques, notamment celui de s’aliéner une partie de son public et de s’exposer à des représailles de la part de ses détracteurs.
Candace Owens, plus forte que jamais
Alors que les tensions continuent de monter, l’avenir de Candace Owens dans l’arène publique se renforce plus que jamais.
Ses partisans la voient comme une championne de la liberté d’expression, prête à affronter les puissants pour défendre ses convictions. Ses adversaires, en revanche, la considèrent comme une agitatrice qui joue avec le feu.
Ce qui est certain, c’est que la bataille entre Candance Owens et ce qu’elle appelle la « mafia des médias » est loin d’être terminée.
Dans un environnement politique de plus en plus polarisé, où les lignes de démarcation entre vérité et désinformation sont de plus en plus floues, la voix de Candace Owens continuera de susciter la controverse.
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Une bataille pour le contrôle du narratif
L’affaire Candace Owens est emblématique des luttes qui se déroulent actuellement sur le front de la liberté d’expression. Elle soulève des questions fondamentales sur le rôle des médias, des organisations de défense des droits civiques, et des plateformes de messagerie et de réseaux sociaux dans le contrôle du discours public.
Alors que le débat se poursuit, une chose est claire : la bataille pour le contrôle du narratif est loin d’être terminée.
Fabien, 34 ans, né en Lorraine. Diplômé d’un Master Politiques Publiques à Sciences-Po. Traite l’actualité sociale au sens large. Je ne rate aucun débat politique depuis 2002.