À quelques jours du premier tour des élections législatives, Yaël Braun-Pivet affiche clairement ses ambitions de retrouver le perchoir de l’Assemblée nationale. Les élections prévues pour les 30 juin et 7 juillet seront donc décisives pour son avenir politique.
Yaël Braun-Pivet Priorité à la présidence de l’Assemblée plutôt qu’à Matignon
Yaël Braun-Pivet estime que sa ^place à la présidence à de l’Assemblée nationale. Interrogée sur ses éventuelles aspirations au poste de Premier ministre, Yaël Braun-Pivet a préféré mettre en avant son engagement envers l’Assemblée nationale.
Selon elle, sa place est à la présidence du Parlement, où elle estime pouvoir apporter le plus à la nation. « Je souhaite redevenir présidente de l’Assemblée nationale, c’est là que je suis la plus utile pour les Français », a-t-elle affirmé lors de son passage sur France Bleu.
Elle a défendu son bilan passé en notant le lien privilégié qu’elle a su établir avec le président du Sénat.
Yaël Braun-Pivet a mis en avant la qualité de ses relations avec le président du Sénat, avec qui elle pense constituer une force contre l’antisémitisme et bâtir un Parlement républicain. Elle a insisté sur la nécessité d’un tel Parlement pour répondre aux attentes des Français et renforcer la démocratie.
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Réactions contrastées sur les réseaux sociaux
Les propos de Yaël Braun-Pivet n’ont pas manqué de susciter des réactions sur Twitter. Certains internautes n’ont pas hésité à exprimer leur scepticisme et leur mécontentement. Parmi les commentaires, on peut lire :
« Les Français se portent à merveille sans elle, qu’elle reste où elle est mdr », « Je souhaite garder mon salaire » ou encore « Heureusement c’est pas interdit de rêver hein. » D’autres ont été plus directs : « Sauf que plus personne te veut comme président de l’Assemblée nationale. »
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Des sondages pas trop favorables
Les ambitions de Yaël Braun-Pivet pour retrouver la présidence de l’Assemblée nationale montrent sa détermination à continuer son engagement politique. Elle devra convaincre les électeurs et surmonter les critiques pour atteindre son objectif.
Les prochains jours s’annoncent déterminants pour elle, car au niveau des sondages, son parti, La Renaissance, n’est pas assuré de remporter le nombre de sièges nécessaire pour lui garantir son siège de présidente.

Fabien, 34 ans, né en Lorraine. Diplômé d’un Master Politiques Publiques à Sciences-Po. Traite l’actualité sociale au sens large. Je ne rate aucun débat politique depuis 2002.