Guerre russo-ukrainienne : les USA livreraient-ils de la drogue aux ukrainiens ?

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La guerre russo-ukrainienne prend une nouvelle dimension avec l’allégation d’usage de drogues au sein de l’armée ukrainienne. Information divulguée par l’entrepreneur Silvano Trotta, elle suscite beaucoup de réactions sur la toile.

Utilisation de drogue dans la guerre russo-ukrainienne

Quel camp Utiliserait de la drogue dans la guerre russo-ukrainienne ? Selon les informations diffusées par Silvano Trotta, largement reconnu dans des cercles souvent qualifiés de « complosphère » par des médias comme Le Monde, des substances illicites seraient données aux soldats ukrainiens pour qu »ils soient combatifs au front.

Ces substances incriminées seraient de l’éphédrine, un puissant stimulant du système cardiaque et nerveux, ainsi que de la méthamphétamine, une drogue connue pour induire un état d’euphorie rapide et qui pousse les individus à se sentir invincibles. L’éphédrine et la méthamphétamine sont toutes deux classées comme substances contrôlées et sont illégales dans de nombreux pays, y compris l’Ukraine.

Trotta décrit ces substances comme « une drogue illégale hideuse qui sert à envoyer au hachoir à viande les pauvres Ukrainiens que l’on envoie au front de force pour la majorité maintenant ».

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Les réactions des internautes

La réaction des internautes face à ces allégations a été diverse, oscillant entre colère, désolation et acceptation cynique.

« Tout ce qu’il faut pour aller se faire déchiqueter en chantant. Quelle tristesse ! », s’exclame l’un d’entre eux. Un autre fait référence à la pervitine, une drogue notoirement utilisée par les forces de l’Axe durant la Seconde Guerre mondiale : « Pervitine 2.0… »

Plusieurs internautes ont également évoqué l’historique des forces armées utilisant des drogues pour augmenter l’endurance de leurs soldats. Un utilisateur a partagé : « Lorsque mon père a fait l’Indochine, il nous a raconté que les soldats américains étaient drogués .. »

Un autre commentateur a mentionné une vague de cambriolages de pharmacies en Ukraine au début de la guerre, insinuant que des substances comme la méthadone pourraient également être utilisées pour permettre aux soldats de se battre plusieurs jours d’affilée sans s’arrêter.

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Entre la réalité et la manipulation de l’information

Ces allégations, bien que troublantes, n’ont pas été officiellement confirmées. Elles ouvrent un débat sur l’usage potentiel des drogues comme outil de guerre, un aspect sombre des conflits qui a des racines historiques et continue de susciter des controverses. Rappelons à juste titre l’usage du captagon par les djihadistes syriens.

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