Quand un internaute corrige les fautes d’orthographes de Sandrine Rousseau… Dans une lettre destinée à ses collègues du NFP, publiée sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter, actuel X, elle exhorte ces derniers à quitter le réseau social X. Mais l’initiative est marquée par une polémique inattendue : un internaute a relevé les fautes d’orthographe présentes dans son courrier et déclenche un torrent de réactions sur la toile.
Une lettre contre X, Sandrine Rousseau dénonce un danger
Dans ce courrier adressé aux députés du NFP, Sandrine Rousseau s’en prend à X, l’ancien Twitter, et à son propriétaire Elon Musk. Selon la députée, la plateforme représenterait une menace pour les démocraties.
Elle note la manipulation des algorithmes, la misogynie omniprésente, ainsi que le climat hostile envers les personnes transgenres. Elle appelle donc ses collègues à agir collectivement en supprimant leurs comptes sur ce réseau social.
Cette proposition, bien que saluée par certains, a également suscité des critiques, notamment de la part d’internautes qui accusent Sandrine Rousseau de promouvoir une forme de censure déguisée. La lettre elle-même, loin de passer inaperçue, est devenue la cible d’une autre forme de moquerie.
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Huit fautes soulignées dans la lettre de Sandrine Rousseau
Un internaute particulièrement attentif a pris le temps de scruter la lettre de Sandrine Rousseau. Résultat : il a relevé huit fautes d’orthographe, qu’il s’est empressé de souligner ou d’entourer en rouge avant de publier son analyse sur les réseaux sociaux.
Pour couronner le tout, il a attribué une note de 12 sur 20 à la députée. Cette critique méthodique a rapidement pris de l’ampleur, et alimente le débat autour de la qualité des écrits d’une personnalité qui, rappelons-le, a également été enseignante-chercheuse à l’université.
« Dire qu’elle est maîtresse de conférences… », note un internaute.
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Contre Sandrine Rousseau, les internautes se déchaînent
La publication des fautes de Sandrine Rousseau a déclenché une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux. Certains internautes ont rappelé d’autres propos remplis de faites de Sandrine Rousseau, comme celle-ci, qui avait marqué les esprits par son absurdité syntaxique :
« Nous avions la gorge qui grattions, nous avions les yeux qui brûlions. » Une phrase que les internautes ne sont pas prêts à oublier, tant il est considéré comme un manque de rigueur linguistique. D’autres ont ironisé sur le fond même de la lettre en faisant le parallèle avec l’opinion de la Droite, il y a encore quelques années.
« Il y a quelques années, la droite critiquait Twitter et menaçait parfois de le quitter parce que les comptes étaient bannis sans cesse. La gauche, aujourd’hui, veut quitter X non pas parce qu’elle est censurée, mais parce que la parole y est libre ».
Outre donc les fautes d’orthographe, le contenu même de la lettre est critiqué par ses détracteurs. Certains y voient une attaque idéologique contre une plateforme où la liberté d’expression est mise en avant.
L’ironie est que la lettre elle-même, en appelant à un retrait collectif, a ravivé le débat sur l’écriture inclusive, un sujet cher à Sandrine Rousseau mais critiqué par plusieurs internautes. « En français, le masculin l’emporte sur le féminin. L’écriture inclusive est interdite », ont rappelé certains, ajoutant une touche de provocation au débat.

Fabien, 34 ans, né en Lorraine. Diplômé d’un Master Politiques Publiques à Sciences-Po. Traite l’actualité sociale au sens large. Je ne rate aucun débat politique depuis 2002.