Jawad Bendaoud, l’homme tristement connu pour avoir hébergé des terroristes liés aux attentats du 13 novembre 2015 en France, a refait surface dans une nouvelle vidéo. Celui qui est surnommé « le logeur de Daesh » a révélé gagner une somme de 1 300€ à chaque live qu’il réalise sur la plateforme TikTok. Cette révélation a, sans surprise, suscité une vague d’indignation et de curiosité parmi la communauté en ligne.
TikTok : le salaire de Jawad Bendaoud suscite l’indignation
Jawad Bendaoud a su tirer parti de la notoriété acquise dans des circonstances tragiques, pour s’établir un salaire sur Tiktok. Il a trouvé une manière de monétiser sa notoriété controversée. Les lives qu’il organise sur la plateforme attirent un grand nombre d’internautes, qui pour certains, n’hésitent pas à payer pour interagir avec lui.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Sur Twitter, actuel X, les internautes expriment leur incompréhension et leur indignation face à cette situation inédite. Les commentaires fusent, interrogeant la moralité non seulement de Jawad Bendaoud, mais également de ceux qui choisissent de le suivre et de le financer sur TikTok.
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Qui paye bien le salaire Jawad Bendaoud ?
La question qui taraude l’esprit de beaucoup est celle de savoir qui sont ces individus qui contribuent au salaire de Jawad Bendaoud sur Tiktok… Cette interrogation soulève un débat plus large sur la monétisation des réseaux sociaux, et sur la responsabilité des plateformes comme TikTok dans la promotion de contenu de personnes controversées.
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L’Énigme autour du salaire de Jawad Bendaoud
Le cas de Jawad Bendaoud et son salaire sur TikTok pose inévitablement la question du système de valeurs véhiculé par les réseaux sociaux.
La facilité avec laquelle un individu associé à des actes criminels peut capitaliser sur sa notoriété et obtenir un salaire sur TikTok grâce à son image est un sujet de préoccupation légitime. Il est à se demander jusqu’où la recherche de la célébrité et la monétisation peuvent aller, et quel type de contenu est toléré, voire encouragé, sur les plateformes digitales.
Le cas de Jawad Bendaoud ouvre une fenêtre sur les défis et les dilemmes éthiques auxquels sont confrontées les plateformes de médias sociaux dans un monde de plus en plus connecté. Il appelle à une réflexion collective sur le type de contenu que nous, en tant que société, sommes prêts à tolérer et promouvoir dans l’espace digital.
Fabien, 34 ans, né en Lorraine. Diplômé d’un Master Politiques Publiques à Sciences-Po. Traite l’actualité sociale au sens large. Je ne rate aucun débat politique depuis 2002.
