Lamine Yamal ne signera plus d’autographes gratuitement. Une décision qui secoue les fans…
En bref
- Fin des autographes gratuits : Lamine Yamal, 17 ans, ne signera plus pour les fans, même à la sortie des entraînements.
- Un partenariat avec une entreprise de vente d’articles dédicacés est à l’origine de cette décision.
- Le club soutient cette stratégie, voyant une opportunité commerciale.
- Les supporters s’inquiètent de voir leur idole s’éloigner.
- D’autres joueurs pourraient suivre ce modèle économique.
La décision de ne plus offrir d’autographes gratuits de Lamine Yamal, relayée par Mundo Deportivo, marque un tournant. Cette mesure, motivée par un contrat avec une entreprise spécialisée dans les articles dédicacés n’est pas bien du gout des fans. Le FC Barcelone valide cette stratégie.
Plus d’autographe gratuit : un choix dicté par le business
Lamine Yamal s’apprête à signer avec une société qui commercialisera ses autographes sur des maillots, photos ou ballons. Cette entreprise impose une exclusivité : plus d’autographes gratuits, même pour les fans les plus fidèles qui patientent des heures devant le centre d’entraînement du FC Barcelone.
Le joueur, conseillé par son entourage, suit désormais une logique économique. Avec un salaire et une valeur marchande en pleine explosion, chaque signature devient un produit.
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Les fans pris de court
Pour les supporters, c’est un choc. Les autographes sont des symboles d’un lien unique entre joueurs et fans… Sur les réseaux sociaux, les réactions oscillent entre compréhension et déception. « Il a le droit de gagner de l’argent, mais ça brise la magie », confie un supporter catalan.
Des autographes payants, cela peut creuser un fossé entre Lamine Yamal et son public, surtout dans un club où la ferveur populaire est une institution.
Le cas Yamal n’est pas isolé. D’autres stars, comme Cristiano Ronaldo ou Lionel Messi, ont déjà monétisé leurs signatures via des partenariats. Avec la montée des plateformes de revente et la chasse aux objets collectors, le football s’adapte à une économie où chaque geste d’un joueur est un actif.
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