Aux Etat-Unis, plusieurs études ont révélé que les employeurs et recruteurs étaient plus actifs sur les sites d’emplois que ceux qui recherchent du travail. Quatre sites d’emploi extrêmement connus ont été analysés ; monster, indeed, careerbuilder et glassdoor.
Les études ont comparé le trafic de ces sites entre 2019 et 2020.
L’analyse révèle que les visites mensuelles moyennes ont diminué de 7,5 % sur ces sites web. La pandémie du Covid19 est évidemment la cause principale.
Le site Monster connaissait la plus forte baisse. Le réseau social LinkedIn, destiné ux professionnel, est resté le plus stable en terme de connexion et d’utilisation. Il permet de garder le lien entre ces collaborateurs ou ses contacts, contrairement aux sites d’offres et demandes d’emplois.
LinkedIn est donc différent des autres sites d’emplois. C’est un RS où on peut poster du contenu qui ne fait pas forcement référence à la recherche ou la proposition de métier.
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Linkedin est utilisé presque pour du loisir globalement, partager du contenu viral, son actualité personnelle.
Les bons chiffres de ce réseau sont probablement dues au fait qu’on peut faire du réseautage entre pros, pas seulement rechercher des offres d’emploi.
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Cette tendance s’est accentuée au cours de l’été, notamment à San Francisco ou à New-York. En effet, les allocations chômage ont commencé à expirer et que le nombre de cas COVID-19 a commencé à ralentir.
L’étude américaine mentionne également que les RH reviennent sur les plateformes d’emploi avant que les internautes en recherche d’un job s’y connectent.
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